Le juge d’instruction de Paris chargé d’instruire la plainte déposée par des associations écologiques, suite à l’empoisonnement des populations Guadeloupéenne et Martiniquaise par les gros planteurs békés, a indiqué qu’il envisage de prononcer un non-lieu, au motif que les faits seraient prescrits et que certaines pièces dont il est fait référence dans le rapport de la commission parlementaire auraient disparus.